Inerte posé sur le coin d’une table
Ou en discrétion dans une besace
Tu veilles de ton œil affable
Sous couvert de ta carcasse
Mais te voilà déjà qui vibre
Tu m’interpelles de ton déhanché
Me snobant de ton déséquilibre
D’un clic me voilà connecté
Du bout des doigts
Je suis les ondes
M’ouvrant la voie
Je caresse le monde
Au cœur de ta clairvoyance
L’horizon sans retenue
Se dévoile presque à outrance
Un miroir de déconvenue
Et pourtant simple objet
Mais attirant tant de convoitise
Te voilà gestionnaire de mon reflet
Perpétuant la connaissance, mais aussi la bêtise…
Tenny