Source essentielle

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De sens en indécence
Le va-et-vient se balance

Colonne d’émotion ou
s’entrechoc les vibrations

Doux parfum d’érosion
Qui déferle de tes perles de passion

L’escalade de tes émotions
Annonce la venue du grand frisson

Du “S” de tes lèvres
Au sexe de ma bouche

Le désir en découle
Servitude gorgée de puissance

J’avale sans doléance
L’insaisissable insolence

Eden Hope.

Iriser

Fais les briller, ne lésine pas !
Ils se poseront sur toi, imaginant des entrevues impudiques.
Sois arrogant, tente-moi !
Leurs lueurs éclaireront tes émois.
Prépare-toi, ils livrent mes désirs sans détour.
Me laissant sans armure, je me réfugie sous le couvert de l’humour.
Sois courageux, ils s’enflamment sous la passion et te dévoreront sans modération.
Et si de leurs arrogances, ils te narguent, tiens leurs tête, c’est que je vais aimer te défier !

Eden HOPE.

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Jeux d’enfants

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Un défi à relever, un regard malicieux, une étincelle sauvagement consommée, une complicité espiègle, des roses de couleurs inaccessibles, une présence inattendue à un moment particulier… puis d’autres, une rose ivresse secrète, un appel… encore… puis toujours, une main tendue sans jugement, un doute, une incertitude, une confidence, une vraie amitié, des doigts entrelacés dans une cage d’escalier, des larmes quelquefois partagées, des conseils échangés, des ombres jalouses, des excès orgasmiques, un secret scellé, un livre cachant en son cœur un trésor, des escapades surprenantes, toujours cette intensité, un bandeau rassurant, des liens de soumission enchaînant le désir, une étreinte dirigeante, sécurisante, une attente exclusive, une déclaration inespérée, une promesse… une éternité…

Eden HOPE.

Au fur et à mesure

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Commence en douceur…
Apprivoise mon corps docilement…
Accorde-moi le temps de m’ouvrir et m’offrir à toi sans aucune résistance, ni retenue…
Mélange émotion et effervescence… sensibilité et véhémence… Guide ma passion !
Chuchote d’une manière presqu’imperceptible au creux de mon oreille, tes désirs impudiques…
Autorise-moi la jouissance progressive…
Permet à mon âme et mon corps de fusionner jusqu’au séisme…
Ne tolère pas, que mon impatience, mes supplications ou mon impudence te guide…
Laisse-moi perdre la raison lentement… Effleurer la démence… Que se déchaîne la furie
Et lorsque mon corps te sera offert sans plus aucune réserve, mets-y toute ta fougue…
Offre-moi ta force virile, jusqu’à ce que je me perde dans un fracas inéluctable de plaisir et atteigne l’absolu, l’empyrée !

Eden HOPE.

Succube

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Au cœur de l’émotion, mon âme s’envole.
Comme emportée dans un tourbillon, je décolle.
Crise de narcissisme, je vis au travers de ses yeux.
Qu’il me regarde et je me perds en aveux.

L’intensité de ce pouvoir m’enivre, belle addiction.
La mélodie me berce, apaise l’abandon,
Permet jusqu’à l’oubli de l’ennui.
Son regard cicatrise la brèche, la réduit.

Je vois la déesse en miroir de flamme,
Révélée par les fenêtres de son âme.
Il m’emporte loin d’ici sur le chemin des frissons.
Je m’abandonne en hédoniste sous de belles illusions.

Je me promène d’éclat en fracas, accélère
Sous le couvert de ma chair,
Qui comme un gouffre d’envie
Réclame la jouissance infinie.

Assoiffée de plaisir,
Je me fixe en Junkie, je délire,
M’abandonne en utopie,
Crée l’anarchie,
Confonds la réalité à l’Eden
Puis retombe… Dans le vide éternel

Eden HOPE.

Red Dream

1284La chambre était bordée de rouge, signe du désir, signe de la tentation.
À peine avaient ils passé la porte que déjà, leurs yeux étincelaient d’envie.
Ils s’échangeaient des baisers fougueux, comme s’ils cherchaient à récupérer le temps qui leur avait manqué.
Elle le trouvait beau, au regard dominant et comme un défi, elle désirait le capturer au moins pour cet instant.
Il a déboutonné son chemisier, libéré ses seins pour les caresser.
Il oscillait entre douceur et maintien. Elle jouait la victime ensorcelée en essayant de cacher son désir gourmand de le posséder.
À chaque étape franchie, une tornade d’émotion la bousculait. Il était le fantasme, la promesse d’une histoire mémorable.
Lorsque les étoffes ont libéré leurs silhouettes, les reflets des cloisons au plafond ont laissé percevoir le mélange de l’ivoire et de l’ambre. Étrange fusion que de peaux satinées.
Elle l’a goûté, pris plaisir à caresser de sa langue l’objet tant convoité.
De ses doigts, il a trouvé le chemin. Conquérant percutant sans fin, elle a joui.
Juste éveillée, elle en a redemandé. Le gouffre du désir s’était déclenché. Encore, encore était le seul écho raisonnant en elle.
De sa puissance, dressé au sommet, il l’a possédé en force. Elle en redemandait comme si cette fusion était le reflet d’une exceptionnelle dyade.
Ce duel parfait ne pouvait que se délecter dans la puissance et l’intensité d’un orgasme simultané. Association de feu, ils étaient faits pour cette passion éclatante.
Elle était troublée… était-ce une chimère, une illusion ? Il semblait être le complice dont elle avait tant rêvé. Était-ce encore une invention de sa débordante imagination ?
Eden HOPE.

Au bout du monde…

abs-back-black-and-white-boyfriend-favim-com-3381874Celui où mes rêves m’emmènent lorsque je pense à toi
Celui où mes fantasmes sont rois…
Celui où tes mains se posent sur moi, glissent jusque-là…
Ce sont d’abord tes yeux, ton regard, qui mène le jeu…
Ce petit sourire qui m’attire…
J’ai envie de te mordre, te goûter, te montrer que tu es à moi !
Puis te laisser décider, me tracer la route, jouer un peu…
Souffler le froid pour éviter que je me brûle
Déclencher l’étincelle pour que je m’allume
Et sur le chemin, passer du va-et-vient de douceur à la force oscillante…
Je suis ton obligé, dépendante de ton autorité…
Soumise à tes désirs, les plus fous, flirtant entre insolence et déférence
Un combat passionné se mène, je m’accroche à toi…
Ta peau, ton corps, cet espace est à moi
Je prends, je prends encore jusqu’à ce que je sois au bout…
Au bout de toi, au bout de moi
Je suis au bout du monde, je suis à toi !
Eden HOPE.

L’éveil de Lilith

C’est sous son poids que je me sens lui appartenir
Le ventre plaqué contre le matelas
Écrasée entre la douceur et la force
J’aime sentir sa profondeur m’envahir
Ce va-et-vient grandissant me porte vers une sorte de tourbillon d’émotion
Une douce mélodie se répète…
“Encore, encore, j’en veux encore…”
Cette voix m’excite dangereusement
On dirait que cette furie que j’entends en redemande sans cesse
Il est clair qu’elle aime ce qu’elle ressent
La voilà suppliant de lui donner plus
Elle sent la vague la submerger
Bon sang ce que de l’entendre m’enivre de plaisir
J’ai la sensation qu’elle me guide vers le Graal, vers le tsunami déchirant
Au summum du supportable ou plutôt de l’insupportable,
Mon corps, dans un dernier effort, tremble de tout son être
La finalité laisse, en résonance, ce cri déchirant que la démente a poussé
Et puis d’un coup je compris… C’est de ma voix que vient ce cri !
Eden HOPEnoir-blanc-femme-img

Langue de bois

Je sens sa peau tout contre moi. Son parfum m’enivre de folie.
J’aimerais la caresser, mais c’est ses mains à lui que je vois effleurer ses courbes.
Je la sens frissonner tout contre moi, lorsqu’il glisse son visage entre ses cuisses.
J’entends leurs souffles comme une douce mélodie harmonieuse.
Il se redresse et la pénètre de sa virilité animale, elle gémit.
300x300Je l’envie, j’aimerais être lui et voir le regard qu’elle lui offre, se poser sur moi.
Elle le supplie de continuer encore et encore. Lui s’applique et lui obéi.
Elle glisse contre moi, de secousse en secousse,
Ses fesses me caressent et je me sens presque tressaillir de joie.
C’est un peu comme si elle était à moi.
Je porte tout son être, je suis son pilier.
Elle sait qu’elle peut compter sur moi, je ne la décevrai pas !
Chacune de mes fibres se délectent de sa chaleur.
Le son de sa voix inonde mon âme.
Entendre le plaisir l’envahir est le summum de ce que je peux supporter.
Elle me donne envie de me transformer, d’être son pantin de bois.
Mais pitié, pas juste cette table de bois !
Eden HOPE.

Oui, j’ai la clef

Celle qui mène au premier baiser.
J’en rêve de cette douceur.
Pitié, qu’il m’emporte dans sa ferveur.
De passion dévorante, sous ses caresses enivrante,
mon esprit se déchaîne et voilà que la démence me transcende.
Juste un moment sans rien de décevant.70287081
Me laisser guider par son charme, la chaleur de son âme.
Suivre le chemin désigné par son regard qui n’en finit pas de me déshabiller.
Me transformer en esclave de ses envies et devenir celle qu’il cherche à combler.
Eden HOPE.

Fauve

Ne serait-ce qu’un instant unique
Celui où, je me donne à toi
C’est ta douceur qui m’emporte d’abord
Ensuite, tes baisers sur ma peau assoiffée
La chaleur de tes mains trace le chemin
L’envie éveillée au Mont dressé
Me donne l’illusion d’immensité
Sans retenue, alors, je suis à toi
L’animal sommeiall-baout-kissllant jusque-là, se révèle
Tes yeux guident mes pas
Ton souffle est à moi
Ta persévérance comble mes espoirs
De cette fusion, l’orgasme violent
Je ne suis plus que passion
Ayant soif sans condition
Te redemandant encore et encore
Dévoué juste pour ce corps-à-corps
Eden HOPE.

Insaisissable

De la douceur de ta peau, le souvenir me caresse
Quelque chose de là-haut, me reste ta tendresse
Lorsque tu plonges dans l’émeraude malicieuse
Me voilà troublé par la lumière du saphir en fusion
Je dérive, je me perds, en silence, je te veux
L’attente pourrait être frustration
Et je mentirais si je te disais que nonoiseau
Mais quelque chose de spécial, de nouveau
Que je crois pouvoir nommer passion
Se pose comme un oiseau
Inaccessible, fragile et volatile
Mais à la fois si beau
D’un volcan mon être se débat
Entre les lignes, entre l’inédit
À bout de signes, de vrais non-dits
L’incontrôlable m’envahit
L’obsession d’être unis
La peur d’être à ta merci
Et puis, que d’un geste tout s’enfuit…
Eden HOPE.

Entre le sol et l’éclat

Ce regard posé sur elle
Comble le gouffre éternel
Le désir ne trahit pas
L’amour, quant à lui, s’en va
Certitude que le geste l’atteint
Le sentiment, lui, dérive et s’éteint

Lorsque l’étinc251103a365ff52b6b47765d649420aa2elle pétille au fond des yeux
C’est l’annonce d’une fusion de feux
Le moment est clé
Elle se sent exister
Oubliant la peur
Ne sentant plus la douleur

L’importance est là
Entre le sol et l’éclat
Elle supplie qu’il dure
La sensation lui semble pure
Elle sait l’ouragan
Dévastateur, pénétrant

L’insolence de ses pensées
Atteint enfin, l’apogée
Et ce regard enivrant
Tout peut s’arrêter même le temps
Et d’ailleurs qu’il s’arrête
Pour que l’illusion soit parfaite.
Eden HOPE.

Arrogance

peintures-erotique-femme-assise-sur-lit-encr-5820351-ero-25-l-f3757-45d68_bigElle se délecte seule imaginant ton regard
Ses doigts glissent et atteignent par mégarde, le point arrogant, l’a torturant, sans cesse depuis toi, depuis ta voix.
L’onde de choc la submerge instantanément, parcourant chaque parcelle de sa chair, jusqu’à en extraire cette douceur innocente.
Gourmande par nature, se goûter n’est pas parjure. Cette friandise, certes, n’est pas chaste mais combien aguichante et faste.
Ces joues rosissent à peine et déjà la voilà qui y retourne, décidant d’explorer ce chemin au goût de voyage inconnu.
De la douceur naît la vigueur. Descente infernale vers le désordre.
Légère confusion inondant son discernement, s’approchant du brasier du jugement dernier.
Te voilà approchant, surprenant l’effronté et comme un défi te voilà relevé !
La punir de ton être n’est-ce pas là une douce trêve ?
De son regard, elle t’implore. Te voilà son doux seigneur.
Que ne ferais-tu pas pour l’aider à calmer ses ardeur ?
Eden HOPE.

Clair-obscur

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D’une trêve, d’un désespoir
Me voilà proie de ton désir
Enflammée par ton regard 
Ma peau n’en finit pas de frémir 
La caresse de tes baisers 
Glissant sur mes courbes  
Éveille mes sens enflammés 
Et déjà s’assourdissent, mes scrupules 
Tu contournes, tu esquives 
À me rendre folle, je dérive 
Tel le va-et-vient des vagues 
Ton être m’envahit de frissons 
Je sens monter l’émotion 
Que dis-je l’ivresse
Cette secousse qui sans cesse 
Me rappelle l’emprise de ton âme sur mon cœur, 
Sur mon corps qui sans fin te supplie de défiance 
Aie pitié, offre lui cette folie, cette démence
Eden HOPE.

Onirisme

Il est 9h00, je suis dans la salle de bains, seule devant le miroir. Il fait froid, l’hiver est bien là ! Je branche le chauffage, retire mon pantalon, mon pull. Je n’avais rien d’autre sur moi. Je regarde dans le miroir, je t’imagine me regarder et tes mains glisser sur ma peau… Une chanson de Patricia Kaas passe à la radio. Certaines paroles m’interpellent : « Il me dit que je suis belle, et qu’il n’attendait que moi, il me dit que je suis celle juste faite pour ses bras »

Il t’arrive de me dire que je suis belle, que tu me trouves exceptionnelle et que nous étions faits pour nous rencontrer… À chaque fois, je savoure tes mots !
J’ouvre la douche et me glisse sous la douce chaleur de l’eau ruisselant sur mes courbes qui déjà te désirent comme si tout de moi te réclamait… Toujours cette chanson qu26872_43087243_femme-douche_H101608_Li me parle : « Il parle comme on caresse, de mots qui n’existent pas de toujours et de tendresse et je n’entends que sa voix » Oui, je n’entends que toi, que ta voix dans mon cœur, j’entends tes promesses d’éternités d’amour intemporel…

Je sens tes mains glisser sur mes cuisses, ta voix murmurer mon prénom au creux de l’oreille, mes yeux se fermes pour te sentir encore plus fort… Je te sens derrière moi, ton corps chaud contre le mien, tu me sers fort contre toi, comme si tu voulais que nos corps ne soient plus jamais séparés…

Tes lèvres embrassent ma nuque, pendant que ta main s’immisce entre mes cuisses et déjà mon corps te supplie… Que tu me prennes juste là, je veux être à toi ! Je sens tes doigts m’envahir, et ce plaisir m’inonder… Mes hanches te cherchent et te provoquent ! Je sens ton sexe dressé n’attendant qu’un geste, qu’un mot de moi pour ouvrir ce combat de nos corps en émoi… Je te veux, plus rien d’autre n’a d’importance ! Si ce n’est le désir de mes sens… Glisse-toi, n’attends pas, je te veux en moi, encore plus fort, plus de toi… Mon esprit vacille, ton être est à moi, cette union me transporte, cette fusion m’enflamme… Mon corps frissonne, en redemande… Pitié ne t’arrête pas !

Mon Dieu, ta voix, juste là au creux de mon âme, je l’entends, tu me glisses un « je t’aime, je t’aime-toi ! » Et déjà, je sens l’orgasme monter en moi, comme un volcan, il me transporte, me submerge… Je perds tout contrôle et ne me laisse guider que par mes sens sur le point d’exploser, je me sens prête à dériver, à m’abandonner à l’essence même de ce monde, juste là, juste avec toi… L’orgasme s’empare de moi avec fracas et mon corps défaillant frissonne de plaisir à n’en plus finir !

Et déjà, ce rappel à moi les paroles de cette chanson annonçant qu’ « Il me dit que je suis belle, je le vois courir vers moi, ses mains me frôlent et m’entraînent, C’est beau comme au cinéma, plus de trahison, de peines, mon scénario n’en veut pas, il me dit que je suis reine, et pauvre de moi, j’y crois ! » Pauvre de moi, j’y crois …

Eden HOPE.

IL l’habite

Mon cœur se serre lorsque d’une pensée discrète, je m’évade pour te rejoindre.
De multiples souvenirs me reviennent et déjà, mes joues rosissent.
Mes désirs me transportent dans ce monde qui est le nôtre où effectivement aux yeux du quidam nos échanges sont des plus honteux.
Il est des endroits comme celui-là ou les sentiments sont des plus exacerbés, ce qui pour ne rien gâcher, me transcende d’une façon démesurée.
Ton regard me met à nu pour laisser place à tes baisers qui sur ma peau dessinent ton désir et par de là me comble de bonheur !
De ta voix s’échappe la passion, que de douces paroles venant alimenter davantage mon jardin des plus intime.1312374-Gustave_Courbet_la_Femme_au_perroquet
Et me voilà, déjà à la dérive vers nos contrées sauvages, délectée de mon précieux qui rien que pour mon ego se dresse tel un seigneur, créateur de cette flamme qui m’anime.
Notre Oasis est un sanctuaire, brillant de mille feux, telle la chaleur de l’enfer, il me réchauffe le Cœur, mais aussi sans complexe enflamme mon intimité la plus secrète.
Je rêve de toi, toi mon comparse, mon ami, mon complice.
Tu me guides tel un mentor dans mes abysses et m’inspire dans mon art tel mon pygmalion, mon éternel !

Eden HOPE.

Égérie

une-femme-se-promenant-dans-un-etrange-desert_45632_wideDessiné sur tes hanches
Cette courbe, ce mélange
D’une indicible ferveur
Qui se partage avec douceur

Ta démarche, je le vois
Me mène à l’émoi
Et déjà la distance
Me plonge dans la démence

Ne reste déjà plus que de toi
Ce parfum comme une aura
Ton emprunte d’une douce beauté
Laisse derrière toi un cœur dévasté

Eden HOPE.